~ Première rentrée ~

Everardus vit la fille qu'il avait essayé d'ignorer lui faire de grand signe... Il prit sa valise et commença à s'approcher d'elle avec un regard méfiant...
Ses craintes se confirmèrent lorsqu'il entendit la requête de la fille... Elle avait commencé sa phrase par une formule de politesse, donc bon... Autant rendre service... Mais Everardus espérait seulement que cette fille n'allait pas commencer à s'imaginer qu'il ferait son petit serviteur...

- Ouais si tu veux.

Il pensait pouvoir trainer les deux valises en en prenant une dans chaque main, mais s'il arrivait plus ou moins difficilement à porter la sienne, en revanche, impossible de soulever la valise de la jeune fille... Il écarquilla les yeux puis posa sa propre valise.
Il prit alors à deux mains la valise de la demoiselle en détresse ( ) et la souleva péniblement.
Il demanda à son tour.

- Tu me surveilles la mienne pendant que je te portes la tienne à la calèche la plus proche ?

Malvina le regarda s'avancer vers elle et lorsqu'il accepta de lui rendre le service qu'elle lui demandait, elle fut tout à fait soulagée. Elle n'aurait pas à porter sa valise elle-même et de plus, elle savait - de toute évidence - toujours comment donner des ordres.
La jeune fille ne sembla pas du tout chagrinée lorsqu'il dû reposer sa propre valise pour porter la sienne. Après tout, autant faire les choses biens . Elle joignit ses deux mains devant elle, la mine satisfaite tout en lui lançant un sourire dévastateur mais qui s'affaiblit quelque peu lorsqu'il lui demanda de surveiller sa valise en attendant qu'il revienne. Elle sembla hésiter quelques secondes avant d'hocher la tête de haut en bas. Après tout, qu'est-ce que ça lui coûtait à Malvina ? De plus il avait l'air sympathique et lui rendait service.

Oui bien sur. Mais dépèches toi.

Ses derniers mots, Malvina les avait dis sur un ton qui se voulait sympathique mais il était clair que la jeune fille abusait de la gentillesse d'Everardus et elle n'aurait pas été étonnée s'il avait levé les yeux au ciel.

La réponse se fit attendre... Pendant un instant en voyant son sourire s'effacer légèrement il pensa même qu'elle allait refuser... Si c'était le cas elle n'aurait plus eu qu'à se débrouiller seule avec sa valise, mais finalement elle accepta.
Everardus lui adressa un petit sourire étrange et tourna les talons se dirigeant vers la calèche la plus proche.

Pourquoi acceptait-il ??? Par naïveté ? Non... Ce n'était même pas non plus pour les beaux yeux de la jeune fille... C'était juste qu'il avait apprit il y a bien longtemps déjà qu'un petit geste de gentillesse laissait souvent des traces... même auprès de personnes apparemment dénuées de toute sensibilité... Qui sait... Peut-être cette jeune fille apparemment si égocentrique en viendrait à lui rendre la pareille d'une autre manière un jour ou l'autre...

Perdu dans ses reflexions il se rendit compte qu'il était arrivé devant une calèche... Il pria pour qu'elle soit vide... Il pensait bien que la fille voudrait sûrement avoir une calèche pour elle seule.. Comme une petite princesse gâtée... Il posa la valise et regarda à l'interieur de la calèche... Personne.
Il poussa un soupir de soulagement et demanda au cocher de l'aider à hisser la valise sur le toit... Ce que l'homme réussit très bien à faire tout seul...

Une fois ceci fait il retourna sur ses pas et alla vers la fille hautaine... En marchant vers elle il eut tout le loisir pour la détailler... Elle était très belle et elle avait fière allure dans ses habits riches... Si son caractère n'avait pas fait bonne impression au premier abord vis à vis d'Everardus, en revanche il en était différent pour son maintien.
Everardus se planta devant elle et dit avec un petit sourire.

- Voilà, c'est fait... Au fait, puis-je savoir à qui je viens de rendre service ?

Malvina observa la scène de loin, détaillant chaques gestes d' Everardus. Pour une fois, ce n'est pas parce qu'elle s'inquiétait pour ses affaires ou de peur qu'il la vole, il n'avait vraiment pas l'air d'un méchant garçon et c'est ce qui poussa Malvina à lui accorder un minimum de confiance. Non, si elle le regardait c'était... Tout simplement parce que son regard ne voulait pas s'en détacher. Lui rappelait-il quelqu'un ? Pas vraiment. Mais elle savait qu'elle se souviendrait de son visage.

Lorsqu'il revint vers elle, elle détourna enfin les yeux faisant mine d'être préoccupée par ses ongles et lorsqu'elle le sentit tout près, releva les yeux vers lui tout en lui adressant un sourire franc de remerciement. Elle fut étonnée lorsqu'il lui demanda qui elle était, elle s'attendait à ce qu'il s'éloigne au plus vite, comme le faisait la plupart des autres personnes après l'avoir rencontrée. Son sourire s'élargit cette fois et la jeune fille lui répondit d'un ton des plus amical, laissant tomber pour quelques instants ses airs de sainte ni touche. Ses parents n'étaient pas là pour corriger sa façon de se tenir, et puis d'un côté, elle était soulagée de faire connaissance avec le jeune homme.

Je m'appelle Malvina. Malvina Sigfried. Et toi ?

Charlie commençait à trouver le temps long.
Elle n'avait pas l'heure, mais il ne devait plus être trés loin des 11 heures fatidiques maintenant. Restez plus qu'à trouver une calèche et s'installer. Elle se demandait si le voyage allait être long. Où pouvait se trouvait cette école ? A quoi ressemblait-elle ? Etait-elle grande ? Immense ? Oui, sûrement.

La toute jeune fille posa sa valise à ses pieds pour étirer ses bras endoloris à force de la tenir, en regardant autour d'elle. Bien , tout le monde commençait à faire connaissance. Et elle ? A par cette fille qui ne lui disait rien et à qui elle avait eut le malheur de parler, elle n'avait fait connaissance avec personne ... Bah, elle aurait tout le temps de faire connaissance. A un autre moment.

Elle décida d'aller s'installer dés maintenant dans une calèche, comme çà, elle aurait une place. Oui, bonne idée !
Charlie empoigna sa valise mal rangée et se faufila entre les personnes présentes vers la premiére calèche qu'elle trouva. Une aux armoiries de Poudlard, bien évidemment. D'ailleurs, en parlant de cette armoirie, Charlie se remit à penser aux maisons. Car d'après ce que lui avait dit son père, les futurs éléves allaient être répartis ( mais comment ? )dans différntes maisons, dirigées par chaque fondateur. Les critéres de répartition n'étaient connus que des fondateurs. Et Charlie était trés curieuse de savoir dans quelle maison elle allait être envoyée ...

Elle ouvrit la porte de la calèche et s'engouffra à l'intérieur.
Sauf qu'il y avait déjà quelqu'un. Un garçon blond ( Ludo ? Tu es là ? xD Rendrez-vous aux calèches ! ).
Bah tant pis.
Charlie s'asseya en face de lui, sa valise posée dous le siege.

Laurene était en grande conversation avec Rowena Serdaigle. Cette dernière lui fit ensuite remarquer l'heure et Laurene se rappella soudainement qu'il était grand temps d'embarquer. Elle se leva subitement,et se tourna vers ses parents

- Je crois que c'est le moment ...

La mère de la jeune fille soupira. Elle avait toujours eu du mal avec les séparations ... Quand son fils ainé avait quitté la maison,elle avait plongé dans une pseudo deprime durant une semaine. Il faut dire qu'avec son divorce,elle avait été seule pour élever ses enfants,et il s'était alors tissés des liens très profonds entre elle et ses jeunes enfants. La mère de Laurene regarda Rowena Serdaigle qui venait de prendre conger d'eux,pretextant devoir rejoindre ses amis et collegues fondateurs,s'éloigner vers un jeune sorcier a fière allure.

- Maman ?

Celle-çi tourna la tête vers sa fille . Sa voix venait de la ramener à la réalité. Elle se leva bruquement,suivit par ses deux autres enfants,et enfin par son mari

- Eh bien... Allons y !

La père de Laurene empoigna la manche de l'enorme valise de sa fille et la souleva,non sans une pointe de difficulté. Toute la petite famille se rendit devant une calèche,qui avait l'air vide.

- On se voit donc pour les vacances,hein ma puce ? demanda sa mère avec un soupçon d'anxieté dans sa voix,craignant sans doute une réponse négative de la part de sa fille.

- Evidemment maman,jamais je ne resterais à Poudlard pendant les vacances,crois moi !

Un sourir se déssina sur les levres de Madame McClive. Se fut des adieux déchirants qui s'ensuivèrent. La mère de Laurene ne put retenir ses larmes,tout comme sa petite soeur . Les deux hommes de la famille n'avait pas l'air atteint exterieurement,mais interieurement,c'etait comme une partie d'eux qui partait,peut être pas pour toujours,mais tout de même pour pas mal de temps

- Alors,a bientôt ...

Laurene monta dans la calèche,hissa sa valise avec l'aide de son père,et s'adossa contre la fenêtre pour faire un dernier signe a ses parents ...

Hj : DSL Rowena,mais j'avais trop envie de poster !!!! Embarassed

Une jeune fille brune tirant sur le roux, nommée Elisabeth le visage pâle arriva en courrant sur la place de Darieude. Elisabeth portait la tenue des élèves de l'école de sorcelerie, Poudlard. Elle avait à chaques mains, une valise, toutes les deux marrons claires. À ses pieds, un chat la suivait comme son ombre. Elle ralentit l'allure et regarda tout autour d'elle. Celà était, sans aucun doute, l'endroit où les élèves de l'école allaient tous s'engager dans une magnifique aventure.

- Tu vois Tara, c'est ici que le voyage commençe... Je suis sûre que l'on sera très bien là-bas !

Elle s'avança vers la rangée de calèches tirées par de magnifiques chevaux... Elle s'arrêta, posant ses valises et regarda avec admiration les calèches, les élèves et les quatres fondateurs de l'école. Elisabeth sentit une main sur son épaule et se retourna vivement, prête à attaquer.

- Elisabeth ! Je t'avais pourtant dit de m'attendre !

Elisabeth, surnommée Eli, soupira. Sa mère, morte de peur l'avait cherchée partout. Elle prit sa fille dans ses bras et l'étreignit très fort. Elle fit une bise sur le front de sa fille, Elisabeth regardait tout le monde, embarassée. C'était toujours comme ça, sa mère était toujours là, toujours à la sermonnée parce qu'Elisabeth avait quittée deux secondes le champ de vision de sa mère.

- Mais, maman... Je... Je vais être en retard ! Allez, aurevoir !

Elisabeth se défit des bras de sa mère et empoigna ses valises, elle fit la bise à sa mère et partit vivement vers une des calèches. Elle y posa ses deux valises et regarda à l'intérieur. Personne. Elle demanda au clocher de mettre ses valises sur le toît, voyant qu'il y avait déjà des bagages... Elisabeth entra dans la grande calèche. Elle s'assit, Tara sur ses genoux.

- J'espère que la personne qui est là ne me jettera pas...

Elle regardait les foules de futurs élèves et de famille s'activer près des calèches. Le départ était imminent, bientôt Elisabeth allait entrer à l'école de Poudlard, elle allait être destinée à une des maisons ( elle ne savait pas comment ) - Moment qu'Elisabeth redoutait, à cause de sa timiditée - et l'aventure allait pouvoir commençer... Elle se demandait comment celà allait être, si elle allait s'y plaire, si elle allait se faire des amis... De toute façons, elle y serait pour travailler.

~ Fondatrice ~ Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 02/12/2007

( Ne t'inquiétes pas Laurene, çà m'arrange Wink

)

Le changement s'avéra surprenant... Soit la fille était une comédienne émérite, soit elle semblait beaucoup plus gentille après coup qu'au premier abord.
Après tout... n'y a t'il pas du bon en chacun ???
Everardus répondit à sourire et dit d'une voix neutre.

- Everardus Selwynn.

Everardus saisit sa propre valise par la poignée et désigna d'un signe de tête les diligences dans lesquelles de plus en plus d'élèves s'installaient.

- Apparemment on va bientôt partir... Faudrait aller dans les calèches vite fait.

Everardus accompagna Malvina jusqu'à sa calèche... Il se demandait si elle voudrait bien qu'il monte avec elle... Le temps semblait presser, de plus en plus d'élèves montaient dans les calèches et la place se vidait à vue d'oeil.
Après avoir rapidement parcouru la distance les séparant de la calèche, il se tourna vers Malvina, extenué par les aller-retours avec deux valises remplies à ras bord.

Euh... Ca te déranges si je monte avec toi ?

Il remarqua alors sur le toit de la calèche une autre valise... Un rapide coup d'oeil à l'interieur lui confirma qu'une fille était elle aussi rentrée dans la diligence.
Elle avait l'air gentille et tout autant stressée que lui... Everardus ouvrit la porte et croisa son regard... Il y lu de la crainte... Peut-être avait elle peur de se faire éjecter de la diligence...
Everardus la salua d'un timide signe de tête et se tourna vers Malvina attendant sa réaction espérant qu'elle ne foutrait pas tout le monde dehors... ( )

~ Fondateur ~ Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 02/12/2007

Salazar.
Serpentard.
Un prénom.
Un nom.
Un homme.
Il était grand, trés grand et dégageit une telle aura qu'il était difficile de ne pas se retrourner curieusement sur son passage. Physiquement, il n'avait rien de commun. Il n'était pas maigrelet, mais il n'était pas bâtit comme un guerrier. Il était légérement pâle, comme si il était malade, mais ses yeux, petits, trés vifs, d'un noir profond et d'un caractère envoûtant ne laissait aucun doute sur ses réflexes.
Bref, c'était Salazar Serpentard.

Aujourd'hui, le Fondateur portait une longue robe de sorcier verte émmeraude.
Il lançait de tels regards que les moldus qui le détaillait les sourcils fronçés s'empressaient de passer leur chemin. Salazar marchait d'un pas lent, mais étarngement vif, comme si il glissait sur le sol. Ses yeux noirs observérent toute la scéne, tous les éléves, et son cerveau enregistra les données essentielles - pour lui. Voilà, il avait fait son boulot d'observation. Il savait ce qui lui restait à faire, dorénavent.

Il consulta sa montre magique en or qu'il sortit de sa poche, libérant une longue cordellette dorée qui la retenait dans la poche.
Il était l'heure.
Salazar rangea sa montre, et partit d'un pas conquérant vers la diligence qui était reservé aux fondateurs. Il s'y glissa et s'asseya, regardant au dehors ... Et bien habile aurait été celui qui aurait pû lire dans ses pensées.

Alors que Malvina sourit à Everardus en l'écoutant se présenter, son attention fut retenue pendant un moment qui s'avéra assez long, par un homme qui lui paraissait gigantesque de ses yeux d'enfants. Il avait une telle présence et une apparence si puissante qu'elle en resta bouche bée. Elle se surprit même à la trouver séduisant pour un homme adulte. Il n'avait rien de commun avec tout ceux qu'elle avait pu voir et Malvina ne le quitta pas des yeux une seconde, du moins jusqu'à ce qu'il entre dans la dilgence réservée aux fondateurs. Alors il s'agissait d'un des créateur de Poudlard... La montre en or qu'il avait sorti de sa poche n'était pas passée inaperçu aux yeux de la jeune fille. Et c'était un détail qui se révélait très important pour elle. C'était ce genre de personne que sa famille vénérait.

Malvina entendit à peine le jeune homme quand il proposa de se dépécher et elle ne sortit de ses rêveries que lorsque Everardus s'éloigna d'elle pour s'avancer vers la calèche où il avait placé sa valise précèdemment. Elle s'empressa de le suivre tout en relevant légèrement sa robe pour ne pas marcher dessus. Des mèches dorées se démélaient de son chignon, négligeant quelque peu sa coiffure mais Malvina était bien trop troublée pour y prêter attention.

Elle arriva à hauteur d'Everardus qui lui demanda s'il pouvait prendre la même calèche qu'elle. Malvina lui répondit aussitôt de façon positive mais lorsque celui-ci ouvrit la porte de la diligence, elle resta un moment silencieuse, scrutant la jeune fille qui s'y était installée. Sans doutes Everardus et elle s'attendaient tout deux au pire mais au lieu de cela, Malvina, résignée reprit la parole d'un ton dégagé.

Hé bien... Il y aura bien assez de place pour trois.

Sur ces mots, elle entreprit de monter dans la diligence.

~ Fondatrice ~ Nombre de messages : 10 Date d'inscription : 02/12/2007

Helga se mit à courir.
Les moldus regardèrent d'un air trés étonné cette femme repléte, qui courait du mieux qu'elle pouvait dans sa longue robe d'un jaune pétant. Ses cheveux attachés étaient défaits, et quand elle arriva en freinant de ses pieds sur la place de Darieude, elle avait le visage rouge et la respiration saccadée. La femme s'essuya le front d'un revers de manche et ne put s'empêcher d'afficher un grand sourire en voyant toute cette population, tous ces enfants qui allaient devenir éléves de leur école.

Helga Poufsouffle était sûrement la plus joviale et sympathique des 4 Fondateurs. Son visage engageant, ses joues dodues, ses yeux pétillants traduisaient trés bien son état d'esprit. Helga était heureuse et tout excitée. C'était le grand jour !
Elle se balada dans la foule en affichant sourire sur sourire, adressant des signes de la main à qui mieux mieux. Elle fixa de ses yeux pétillants chaque enfant. Elle suivit sans rien dire les débuts de conversation, les échanges mouvementés ou amicaux entre eux. Son sourire ne la quittait pas.

Helga vit passer son ami et collégue Salazar Serpentard.
Elle en déduit qu'il était trés bientôt l'heure. Elle était arrivée juste à temps !Helga sourit de plus belle, et s'époumona d'une voix joyeuse :

- Allez, allez, il est temps de monter dans les diligences ! Ne vous trompez pas, celles avec les armoiries !

Un des rares moldus encore présent la regarda d'un air choqué, mais Helga s'en fichait royalement.

Un garçon et une fille entrèrent dans la diligence. Elisabeth les regarda, avec une certaine crainte, qu'elle essaya de dissimuler avec beaucoup de mal. Elle voyait bien qu'elle dérangeait, enfin, c'est ce que la jeune fille blonde lui donnait comme impression. Peut-être étaient-ils amis ? Peut-être étaient-ils plus qu'amis ? Peut-être qu'ils auraient voulus être seuls ? Une foules de questions se bousculaient dans la tête de la petite cerveaux. Mais sa timidité lui empêcha d'en dire, au moins une. Elle prit son courage à deux mains, avec un petit sourire, elle réussit à articuler un mot.

- B... Salut...

Elisabeth baissa les yeux. La jeune élève caressa Tara, sur ses genoux, sans donner un regard aux deux arrivants. Ayant trop peur de leur réaction... Elle regarda par la fênetre de la calèche et vue la foule d'élèves qui entraient dans les calèches. Elle soupira intérieusement, presque tout les élèves étaient avec un autre. Elle vu ensuite un grand homme habillé d'une robe verte émeraude, il marchait d'un pas lent mais vif à la fois... Cet homme était assez bizarre, dès qu'un moldu osait poser un regard sur lui, il les foudroyait d'un simple regard et le moldu tournait brusquement la tête, pour partir rapidement. Surement Salazar Serpentard, songea Elisabeth. Puis, elle remarqua une femme repléte qui courait avec une robe jaune pétant. Puis, elle pressa les derniers retardataires qui n'étaient pas encore monté dans une des dilgences. La femme, qui devait être Helga Poufsouffle, entra dans la même dilgence que Salazar Serpentard...

Il s'en était passé des choses avant que Lara réagisse ! Everardus lui avait répondu, puis avait parlé à Eva, sa nouvelle rencontre. Ensuite ce dernier était parti vers une fille qu'elle ne connaissait pas, et dont, de toute évidence, elle ferait bien la connaissance un jour. Enfin, l'heure tant attendu était arrivée, il était temps de monter dans les dilgences. Lara était excité, et aussi très impatiente de voir cette nouvelle école ouvrir. A quoi ressemblait elle ? Seuls les quatre fondateurs devaient le savoir. D'ailleurs, ceux là étaient présents, et Lara pensait les avoir reconnus. La fillette se tourna vers Eva, les yeux pétillants et un grand sourire.
" Allez viens ! Montons dans une dilgence ! Allez, allez ! "
Il était claire que Lara voulait faire ce voyage en compagnie d'Eva. Elle la tira par le bras et tenta de la faire venir. Puis, elle embarqua sa valise, et avec difficulté, la petite fille s'introduisit dans une dilgence, incitant Eva à venir. Et puis si une autre personne voulait venir, Lara ne le rejetterai pas ....( Un peu pourri mais bon ... Qui fait le post dans la diligence ? )

[A la bourre XD !]
Tout le monde courrait ici c'était totalement fou. Manquant de se faire percuter par un homme de grande taille, Lena soupira et reprit son chemin. Qui n'était pas facile à cause de sa lourde valise et égalemment de Balthazar l'hibou noir s'agitait comme un forcené dans sa cage. La fillette soupira et de sa voix douce apaisa son oiseau. Celui-ci sembla se calmer mais continua à becter les barreaux de sa cage.

"Je suis désolée Balthazar, mais je ne peux pas te laisser sortir..."

Lena continua son chemin en tirant ses valises à bout de bras. Enfin, la place de Darieude. Il était temps de souffler. Mais pas pour l'instant, Lena aperçut alors des enfants tous de son âge accompagnés par leurs parents. Ou du moins des proches. Et elle..? Personne ne l'accompagnait. Cela paraissait étrange. Lena ne savait qu'une chose, elle avait été admise à Poudlard. Ca l'avançait bien ça tiens... Tournant la tête de droite à gauche essayant de trouver une quelconque indication. Elle se montrait très discrète personne ne pouvait savoir qu'elle était coplètement perdue.Soudain, elle aperçut des calèches. Certainement pour se rendre à Poudlard. Son regard erra encore quelques instants avant de se décier à s'avancer dans la masse de gens.Il fallait à tout prix qu'elle trouve les calèches. Bon nombre d'enfants de son âge se précipitaient dessus. Lena aperçut des adultes qui n'avaient pas l'air de parents. Mais plutôt de directeurs. Elle évita de les bousculer ou de les percuter et arriva tant bien que mal devant l'une des calèches.

[Milles excuse pour le retard...]

Sally regarda Godric Gryffondor s'éloigner, elle porta alors son regard ves sa mère, celle-ci semblait émue...

-Bon j'y vais, de toute façon on doit partir, oui je sais, je serais une gentille fifille modèle et coincè comme tu le souhaite, allez bon retour à la maison!

Sa mère n'eu pas le temps de dire quoi que ce soit que déjà Sally était en route vers les dilligences, elle traina avec difficulter sa valise et entra dans la première calèche qui lui "tombait dessus', sans faire attenetion au peu d'élèves déjà present elle s'installa et fit comme si elle était toute seule, près d'une des deux fenêtres elle porta son regard vers les gens qui s'affairaient autours des dilligences.Elle vit un homme dont la cape aux couleurs émeraude était, aux yeux de Sally, très jolie, le tissus semblait selont elle de bonne qualité!
En observant encore la foule elle remarqua une femme dont la cape jaune d'oeuf était très désagrèable, trop flash!La femme parla mais Sally n'entendit pas ce qu'elle disait!

*Tant mieu d'ailleurs, elle à l'air un peu....enfin, je me comprend!*

La jeune demoiselle ne fesait qu'observer les gens de son oeil critique habituel, Sally n'a jamsi rien fait d'autre de sa vie, martyriser les gens, les critiquer, les rabaisser, les humilier fesait partie de son quotidien, Sally avait toujours raison et attention à celui qui osait ne serais-ce que penser le contraire!

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